1Mon souffle se perd, mes jours s'éteignent : 2Si nulle iniquité n'est par devers moi, 3Ah ! dépose ton gage ! 4Car tu as fermé leur cœur à l'intelligence ; 5Tel convie son prochain à partager, 6Il m'a fait passer en proverbe dans le peuple, 7et le chagrin a rendu mes yeux ternes, 8C'est de quoi les gens de bien sont stupéfaits, 9mais le juste tient ferme à sa voie, 10Mais enfin, vous tous, revenez-y, 11Mes jours sont passés, mes plans sont déchirés, 12Quand il est nuit, je suis, selon eux, en plein jour, 13Quand je dois compter sur les Enfers, 14dire au tombeau : Tu es mon père ! 15où donc est mon espoir ? 16Il descend vers les portes des Enfers,